toutes les sociétés qui ne sont pas encore bénéficiaires (p.ex. presque toutes les biotechnologiques)
celles qui travaillent dans des branches fortement cycliques (p.ex. Adecco) et/ou qui sont très gourmandes en capital et nécessitent d'importants investissements pour mener à bien leurs activités (p.ex. LafargeHolcim, Schmolz + Bickenbach)
les entreprises technologiques et informatiques “hot” qui peuvent être dépassées plus rapidement qu'on l'imagine par un concurrent et dont les produits peuvent devenir obsolètes (p.ex. AMS, Kudelski), même si quelques exceptions dans ce secteur
les restructurations profondes et les chantiers sans fin (p.ex. Valora)
les sociétés qui sont éternellement sur le point de sortir un produit révolutionnaire (p.ex. Myriad)
des entreprises qui passent leur temps à faire des (trop) grosses acquisitions et promettent des synergies irréalistes dans le seul but de justifier leur endettement croissant (p.ex. Dufry)
Un endettement excessif peut rapidement mener à la faillite si la conjoncture se détériore (p.ex. Aryzta, Meyer Burger)
Les entreprises qui ont commis d’énormes magouilles financières sont éliminées à jamais (p.ex. Panalpina)
les grosses banques, car leur bilan est complexe, incompréhensible et plein de mauvaises surprises cachées dans tous les recoins
Le secteur cyclique par excellence et qui doit être évité à tout prix est celui des compagnies aériennes